De 1883 à 1889, trois frères travaillent simultanément à l’hôtel du Parlement de Québec. Ce sont les frères Louis-Georges, Alphonse et Joseph Desjardins, lesquels ont chacun joué un rôle important dans l’histoire de l’institution. À l’occasion du 125e anniversaire de la fondation des caisses Desjardins par Alphonse et son épouse Dorimène Roy, Première lecture retrace le passage de la fratrie Desjardins au Parlement au 19e et au 20e siècle et met en lumière leur apport méconnu à la conservation et à la diffusion de l’information parlementaire.
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Dans le contexte du 150e anniversaire de l’élection, en 1875, de Pierre Fortin à la présidence de l’Assemblée législative, ce remarquable oublié a été mis en lumière de trois façons. Premièrement, la Bibliothèque de l’Assemblée nationale du Québec a publié un ouvrage de prestige. Le Musée de la Gaspésie a ensuite été le maître d’œuvre d’une exposition. Pour couronner le tout, le ministre de la Culture a désigné ce personnage historique dans le Registre du patrimoine culturel du Québec.
La Bibliothèque de l’Assemblée nationale vous invite à découvrir un pan de notre histoire avec sa collection de brochures publiées par le ministère de l’Agriculture et de la Colonisation . Couvrant plus de 100 ans, ces documents nous en apprennent beaucoup sur la vie des agriculteurs au fil du temps et nous offrent un aperçu du monde rural québécois.
Dans une note préparée par le Service de la recherche, la Bibliothèque de l’Assemblée nationale propose un survol des registres canadiens et québécois des armes à feu. Elle met en lumière le cadre juridique ainsi que les mécanismes de prévention et de signalement en lien avec la violence liée aux armes à feu.
Ce billet brosse un aperçu de cette étude, que vous pouvez consulter dans son intégralité dans la section « Publications de recherche » du site Internet de la Bibliothèque de l’Assemblée nationale.
Le réseau universitaire québécois se distingue par sa richesse, sa diversité et son dynamisme. Regroupant des établissements francophones et anglophones, publics et privés, il incarne une pluralité culturelle et intellectuelle qui reflète l’identité propre du Québec. De Montréal à Québec, en passant par Sherbrooke, Chicoutimi et Rimouski, les universités jouent un rôle central dans la formation de la relève, la production des savoirs et le rayonnement international du Québec. Les vingt établissements rassemblent plus de 300 000 étudiantes et étudiants . Leur mission fondamentale s’articule autour de trois pôles, soit la formation, la recherche et les services à la collectivité.
Cet article est le premier d’une série consacrée au réseau universitaire québécois. Il vise à introduire l’écosystème universitaire en présentant d’abord l’historique du réseau, de la fondation de la première université à aujourd’hui, suivi du cadre légal et réglementaire. Comme nous le verrons, la diversité des établissements que l’on observe actuellement quant à la taille, la mission et les programme d’études s’explique en partie pour des raisons historiques.
Préparés par le Service de la recherche de la Bibliothèque de l’Assemblée nationale, les Coups d’œil parlementaires proposent un portrait synthétique et thématique des travaux parlementaires réalisés à l’hiver et au printemps 2025.
Tel est pris qui croyait prendre… En 1843, alors âgé de 36 ans, George Manly Muir décide de jouer un tour à ses collègues, tour qui se retournera contre lui. Muir est le premier greffier (secrétaire général) de l’Assemblée législative du Québec. Il exerce cette fonction de 1867 à 1879. Né en 1807 à Amherstburg en Ontario, d’un père militaire presbytérien et d’une mère catholique, Muir se convertit au catholicisme à l’âge de 12 ans. Après des études classiques chez les Sulpiciens à Montréal, il fait sa cléricature et est admis à la pratique du droit en 1830.
Chaque année, le programme de stages parlementaires de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant invite cinq jeunes à passer une année à l’Assemblée nationale. Ils y rédigent notamment un essai sur une thématique de leur choix liée au parlementarisme et à la démocratie.
Depuis plus d’un demi-siècle, les journaux et les stations de télévision et de radio communautaires se sont taillé une place singulière dans le paysage médiatique du Québec et de ses régions. Ces médias à but non lucratif peuvent être reconnus par le ministère de la Culture et des Communications[1] et ainsi bénéficier de placements publicitaires du gouvernement québécois, lequel incite ses ministères et organismes à consacrer au moins 4 % de leurs dépenses publicitaires annuelles aux médias communautaires. Dans quelle mesure cet objectif a-t-il été atteint au cours des dernières décennies?
Cette note explique le contexte de la mise en place de cette politique énoncée en 1995, montre comment ce principe suscite l’adhésion des acteurs concernés depuis son adoption et fait le point sur les données disponibles à ce sujet.
Le 6 juin 2024, les membres de l’Assemblée nationale du Québec ont adopté à l’unanimité une motion créant la Commission spéciale sur les impacts des écrans et des réseaux sociaux sur la santé et le développement des jeunes. Par cette motion, les parlementaires exprimaient leur volonté de tenir une réflexion collective sur la place des écrans dans nos vies et les enjeux qui s’y rattachent.