À l’été 1862, un nouvel artisan rejoint le monde de l’horlogerie et de l’orfèvrerie de la ville de Québec. Dès 1868, Cyrille Duquet fabrique les horloges et assure leur entretien au parlement de la nouvelle province de Québec. Quelques années plus tard, on lui confie l’approvisionnement et la mise en état des horloges des nouveaux édifices parlementaires. De même, il aura pour mandat l’installation d’une horloge et d’une cloche dans la tour principale.
Cent ans après sa mort, l’héritage de Cyrille Duquet est toujours présent à l’hôtel du Parlement. À partir des archives du ministère des Travaux publics, cet article présente les principales interventions de l’horloger de la rue Saint-Jean dans les édifices parlementaires entre 1868 et 1916.
Alain Gariépy
Service des archives et de la gestion documentaire

Infatigable, curieux, tenace, rêveur parfois, Cyrille Duquet a été un autodidacte de haut niveau. Tout l’intéressait. Les progrès scientifiques et techniques le passionnaient, le stimulaient ; ils n’avaient guère de secrets pour lui[1].
Orfèvre, horloger, bijoutier, joaillier, opticien, inventeur, homme d’affaires, homme politique et musicien, voilà les titres que l’on peut attribuer à Cyrille Duquet, né le 31 mars 1841 à Saint-Charles-de-Bellechasse. En 1854, après des études chez les Frères des écoles chrétiennes, il est embauché comme apprenti chez le bijoutier de Québec, Joseph-Prudent Gendron.

En plus de la bijouterie, Duquet s’initie à l’horlogerie et à l’orfèvrerie. Il laissera sa marque à l’hôtel du Parlement dans ces deux domaines. En mai 1862, à l’âge de 21 ans, Duquet démarre à son compte dans les locaux de son ancien employeur au 1, rue de la Fabrique[2].

Première publicité du magasin Cyrille Duquet
Huit années d’apprentissage, l’occasion de créer une entreprise, mais surtout une créativité et un talent hors du commun, ces atouts permettront à Cyrille Duquet de s’établir en peu de temps et de prospérer dans la vente au détail, la fabrication et la réparation de montres, de bijoux, d’horloges, de lunettes et d’autres objets en métaux précieux.
En parallèle de ses activités commerciales, Duquet consacre une partie de son temps à l’étude de percées scientifiques. Il s’inspire de ses nouvelles connaissances pour réaliser ses propres inventions qu’il expose dans la vitrine de son magasin[3]. « Autour de 1870, Duquet invente un instrument qui permet de contrôler l’heure exacte du passage des gardiens de télégraphes d’alarme aux divers points de leur ronde de surveillance. Le brevet est acheté l’année même, par la New Haven Clock Company des États-Unis[4]. » C’est à cette époque qu’il caresse l’idée d’installer des horloges dans les clochers et les tours des édifices.
Lorsque, quelques années plus tard, le gouvernement décide de faire construire un nouvel édifice parlementaire à Québec, Duquet propose d’installer une horloge dans la tour centrale du bâtiment. Déjà, il vend et répare des horloges aux bureaux du gouvernement depuis 1868.
CYRILLE DUQUET ET LES HORLOGES DU PARLEMENT DE LA CÔTE DE LA MONTAGNE

L’Acte de l’Amérique du Nord britannique entre en vigueur le 1er juillet 1867. La ville de Québec devient la capitale de la nouvelle province. Au lendemain des premières élections générales, le Parlement et le gouvernement s’installent dans l’ancien parlement du Canada-Uni, au sommet de la côte de la Montagne dans le Vieux-Québec. L’aménagement d’un parlement et de bureaux administratifs nécessite un certain nombre d’horloges. On les achète, entre autres, chez Cyrille Duquet. Les archives du ministère des Travaux publics indiquent que, dès le 17 janvier 1868, Duquet transmet un compte de 6 dollars pour l’horloge du bureau du Procureur général[5]. En décembre 1869, il soumet un nouveau compte de 15 dollars pour une horloge et des réparations à deux autres[6]. Des factures semblables sont aussi envoyées en 1872, en 1874 et en 1875.
Malheureusement, les archives du ministère des Travaux publics n’indiquent que rarement les détails qui permettraient d’identifier la marque et le modèle des horloges acquises. On peut supposer que certaines d’entre elles ont probablement disparu en avril 1883 dans l’incendie du parlement de la côte de la Montagne.
CYRILLE DUQUET ET LES NOUVEAUX ÉDIFICES PARLEMENTAIRES À QUÉBEC
En 1876, le gouvernement annonce qu’un nouvel édifice sera construit à Québec afin de loger adéquatement les parlementaires. De manière plus urgente, il faut installer l’ensemble des départements du gouvernement qui sont disséminés dans plusieurs édifices de Québec. Malgré les protestations du concepteur Eugène-Étienne Taché et du commissaire des Travaux publics, l’architecte Pierre Gauvreau, le nouvel édifice sera construit en deux étapes distinctes. « L’édifice des départements » est érigé de 1877 à 1880, tandis que la façade, appelée « Palais législatif », ne sera achevé qu’en 1886.

Le 11 octobre 1880, Cyrille Duquet présente sa soumission pour l’installation des horloges électriques dans les trois ailes disponibles de l’édifice. L’offre consiste à poser, d’ici mai 1881, des horloges électriques dans les trois « pavillons » au coût de 2000 dollars[7]. Le 5 février 1881, le secrétaire des Travaux publics, Ernest Gagnon, l’informe que son offre est acceptée[8]. Au mois de juillet suivant, Duquet transmet son compte qui comprend les horloges vendues et livrées dans les passages et dans les bureaux des départements ainsi que l’horloge de la tour centrale et la cloche dont le poids est de 1240 livres[9].


Crédit photo : Claude Mathieu
La cloche de la tour de l’hôtel du Parlement
Pour terminer l’installation des appareils de sonnerie de l’aile Grande Allée en 1881, Cyrille Duquet fait couler, pour la somme de 620 dollars, une cloche en fonte d’acier de 1240 livres. Cette cloche, qui sera déménagée dans la tour centrale du Palais législatif en 1888, a été fabriquée à la fonderie Antoine Rousseau de Québec comme en fait foi l’inscription gravée dessus : « Coulée par Ant. Rousseau le 23 juin 1881 ». Voulant rendre hommage à l’ingéniosité de Duquet, le fondeur a gravé une autre inscription sur la cloche : « Amis du progrès, suivez l’exemple de votre concitoyen Duquet, cherchez chez vous plutôt qu’ailleurs ». Cette cloche, fabriquée à Québec, sonne les heures jour après jour au parlement depuis 1881 !
En septembre 1882, Cyrille Duquet offre de « régler et tenir en bon ordre les horloges à raison de 0,25 cents par mois chacune et 4 dollars par mois pour la grande horloge des pavillons ». On compte alors 49 horloges dans les édifices des départements[10]. Deux semaines plus tard, son offre de tenir en bon ordre et en parfaite opération l’appareil de sonnerie électrique ainsi que les horloges pour la somme de 392 dollars est acceptée[11]. Duquet transmet également une facture de 180 dollars pour avoir remonté et réparé les horloges depuis novembre 1880 et de 28 dollars pour le maintien de l’horloge extérieure de l’aile Grande Allée[12].
La même année, les réparations et la dorure de la masse du Conseil législatif sont confiées aux bons soins des ateliers Duquet[13]. Cette masse et la verge noire seront détruites le 19 avril 1883 dans l’incendie du parlement de la côte de la Montagne. Peu de temps après, on demande à Cyrille Duquet de fabriquer une nouvelle masse pour le Conseil législatif et une nouvelle verge noire pour le gentilhomme huissier[14].


Crédit photo : Franscesco Bellomo
La mise en chantier du Palais législatif commence quelques mois après le sinistre. À l’automne 1884, Cyrille Duquet présente une soumission sur la pose de toute la sonnerie électrique du nouvel édifice. Son offre est acceptée en décembre par le département des Travaux publics[15]. L’année suivante, en plus du contrat d’entretien des horloges et des sonneries, la compagnie Duquet fournit trois autres horloges, des ustensiles de cuisine en plus d’effectuer des réparations à l’une des deux masses[16].
L’année 1886 marque la fin de la construction de l’hôtel du Parlement et l’installation définitive des parlementaires dans les salles de l’Assemblée législative et du Conseil législatif. En avril, Cyrille Duquet installe des horloges identiques dans les deux salles pour la somme de 312 dollars[17].

Crédit photo : Franscesco Bellomo
L’INSTALLATION DE L’HORLOGE DE LA TOUR EN 1888
Ce n’est toutefois que deux ans plus tard que Cyrille Duquet installe un de ses principaux héritages à l’hôtel du Parlement. Il s’agit de la nouvelle horloge mécanique et des cadrans de la tour centrale du palais législatif, que Duquet installe pour la somme de 4450 dollars au début de l’été 1888[18]. Le contrat comprend également le déplacement de la cloche de l’aile Grande Allée. Nous n’avons malheureusement pas plus de détails sur cette installation puisque le contrat ne figure pas au dossier des archives du ministère des Travaux publics.
Entièrement mécanique, le mouvement de cette horloge mesure 54 pouces de long, 40 pouces de large et 66 pouces de haut. Le bâti et les montures sont en fonte, les roues d’engrenage sont en bronze, les axes et les pignons sont en acier. Il est composé principalement de 12 roues d’engrenage qui varient entre 5 et 20 pouces de diamètre, d’un balancier de 100 pouces de long et de 2 pesées. L’une d’elles a un poids total d’environ 875 livres et sert à la mise en marche de la sonnerie, tandis que l’autre pèse environ 50 livres et contrôle le débit exact de l’avancement des aiguilles. Les 3 cadrans extérieurs font 66 pouces de diamètre et les aiguilles mesurent 30 pouces de long[19].

L’unique accès au mécanisme de l’horloge et au sommet de la tour se fait par cet escalier métallique en spirale installé en janvier 1888 par la compagnie Carrier et Lainé de Lévis.
Crédit photo : Claude Mathieu
L’horloger actuel de l’hôtel du Parlement, André Viger, soutient que près de 135 ans après son installation, « le mouvement de l’horloge fonctionne encore avec toutes ses pièces d’origine, ne montre pratiquement aucun signe d’usure et n’a besoin que d’un ajustement de quelques secondes une fois par semaine[20] ».

Crédit photo : Claude Mathieu
UN CONTRAT QUI TIRE À SA FIN
Malgré tout, le règne de Cyrille Duquet à titre d’horloger du parlement s’achève. Le 13 décembre 1893, Ernest Gagnon lui signifie que le gouvernement n’a pas l’intention de prolonger son contrat du 16 janvier 1891, pour l’entretien des cloches électriques, pendules, etc., au Palais législatif et aux départements publics, le contrat prendra fin le 31 décembre[21] ». L’année suivante, et jusqu’en 1899, l’entretien des horloges et des cloches est confié aux horlogers Châteauvert et Cantin de Québec. Le premier est le frère du député conservateur de Québec-Centre, Victor Châteauvert.

À compter de 1900, l’entretien des horloges et des sonneries de l’hôtel du Parlement est confié à un électricien du nom d’Adélard Gagnon[22]. Il deviendra employé du département des Travaux publics à compter de 1904.[23]
La compagnie Duquet continuera néanmoins à fournir des horloges destinées au parlement et, surtout, à réparer des pièces d’orfèvrerie comme les masses et la verge noire[24].
Y a-t-il eu deux Cyrille Duquet ?
Au cours des recherches effectuées pour la rédaction de cet article, nous avons été surpris d’apprendre qu’il y aurait eu deux Cyrille Duquet horloger et bijoutier à Québec à la même époque! C’est du moins ce qu’on peut lire à la page 270 du Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord, publié en 1990 aux Presses de l’Université Laval. Une première biographie porte sur Cyrille Duquet (1841-1922), mais le texte suivant porte sur un « deuxième » Cyrille Duquet horloger et graveur sur métal né en 1861 ou en 1862 au Québec. Les auteurs avancent ceci :« il y a peut-être confusion entre l’orfèvre Cyrille Duquet et le joaillier Cyrille Duquet ». En effet, après vérifications, les auteurs du Dictionnaire ont fait erreur sur la personne. « L’autre » Cyrille Duquet est en fait Albert-Cyrille Duquet, neveu du premier, qui fit son apprentissage d’horloger, bijoutier et d’orfèvre auprès de son oncle, et demeurera à son emploi au moins jusqu’en 1902. À compter de 1903, Albert-Cyrille Duquet s’associe à l’horloger Joseph-Alphonse Picard et ils s’installent au 36, rue Saint-Jean sous le nom de Picard et Duquet Horloger Bijoutier

Collection privée.
LES RÉPARATIONS DE LA VERGE NOIRE ET LES AMOURES D’ALBERT-CYRILLE DUQUET
En 1889, la verge noire est envoyée à l’atelier de Cyrille Duquet pour des réparations. Le travail est confié à son neveu, Albert-Cyrille, bijoutier et électricien, qui travaille au sein de l’entreprise depuis quatorze ans.
Albert-Cyrille a alors 28 ans et, en remontant la verge noire, dissimule un message dans le petit lion d’or qui coiffe l’objet :
Monsieur l’Inconnu, Peut-être trouverez-vous étrange, lorsque vous démonterez cette Verge noire pour quelque cause que ce soit, en découvrant ce billet renfermé dans ce petit lion. Eh bien, curieux Inconnu que vous êtes, laissez-moi vous dire le véritable nom de l’ouvrier de ce travail. D’abord, ce travail sort de l’atelier de mon oncle Cyrille Duquet, horloger, bijoutier, opticien et électricien et moi, Albert Cyrille Duquet, bijoutier, électricien, je suis son employé depuis quatorze ans et pendant trente-cinq jours, j’ai travaillé à cette Verge noire en bronze doré.
Et sur une touche plutôt humoristique, il poursuit : Maintenant, encore un petit mot sur moi, pour vous dire que je suis encore célibataire et que je n’ai plus que deux ans pour recevoir mon diplôme de vieux garçon endurci, car après trente ans, nous, nous courons grand risque d’y rester, mais je ne désespère pas trop, car je suis en amour avec une charmante enfant en qui je mets tout ma confiance et mon amour, mais si pour quelque cause quelconque je ne réussis pas à me marier Eh bien?… Tant pis pour moi et tant mieux pour elle (…).
En terminant, Duquet souhaite une longue vie à son lecteur inconnu et clos son message en nommant ses confrères d’atelier[25].
Cette adorable histoire d’un jeune bijoutier de Québec n’est pas restée sans suite. Treize ans plus tard, la verge noire retourne dans les ateliers de la compagnie Duquet pour une réparation. L’objet est une fois de plus confié aux bons soins d’Albert Cyrille Duquet. Il en profite pour insérer un second message dans le petit lion :
Québec, 10 février 1902
Le hasard a voulu que le premier venu qui démonte ce petit lion, pour être doré, fut (après 13 ans) l’auteur même de ce petit billet. Beaucoup de changement s’est opéré depuis cette date, car me voilà marié à Marie Zélia Séguin, amour d’enfance; et père de trois enfants, Marguerite 8 ans, Cyrille 6 ans, Marie Jeanne 4 ans ; et je suis aussi heureux qu’un homme peut désirer sur terre.
Maintenant, il est tout probable que la prochaine fois que ce lion sera ouvert sera par un inconnu à moi, car je commence à me faire vieux.
Mon patron Cyr. Duquet,
Mes confrères sont
A. Picard, horloger
J.M. Duquet,
A. Duquet,
et votre humble serviteur
A.Cyr. Duquet, bijoutier, électricien et prestidigitateur[26]



Photos du mémo de 1889. Collection Assemblée nationale du Québec
Les petits papiers contenant les messages d’Albert-Cyrille Duquet ont été découverts en 1991 par la restauratrice France Rémillard du Centre de conservation du Québec.
LES DERNIÈRES INTERVENTIONS
En 1905, on demande à Cyrille Duquet une estimation pour des réparations et des améliorations à l’horloge de la tour centrale (pose d’éclairage électrique à réglage automatique, réfection des chiffres, changement d’aiguilles, etc.)[27].

Il effectuera aussi le « chiffrage et le peinturage » d’un autre cadran de la tour centrale l’année suivante[28] et fournira un nouveau cadran en verre en 1908[29]. En 1909, Duquet remplace le mécanisme et le cadran de l’horloge de la tour centrale de l’aile Grande Allée au coût de 245 dollars. Nous savons également qu’il effectue des réparations de 25 dollars d’une horloge en 1914[30] et pour refaire les cadrans de l’horloge de la tour centrale en 1916[31]. Rappelons que l’horloger a alors 75 ans!

Crédit photo Archives de la Ville de Québec
Cette restauration pourrait être une des dernières interventions de Duquet à l’hôtel du Parlement puisqu’on ne trouve plus, après cette date, de référence à son atelier dans les archives du ministère des Travaux publics. Il faut toutefois mentionner qu’après 1910, les archives donnent de moins en moins de détails sur les achats de fournitures du gouvernement.

Crédit photo : Francesco Bellomo
Cyrille Duquet s’éteint à Québec le 1er décembre 1922, à l’âge vénérable de 81 ans. Cent ans plus tard, l’horloge et la cloche de la tour de l’Assemblée nationale rythment toujours la vie quotidienne du secteur de la colline Parlementaire. Elles sont les témoins, visuelles et sonores, de l’héritage de Cyrille Duquet à l’hôtel du Parlement.
- Denis Vaugeois, « DUQUET, CYRILLE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15, Université Laval/University of Toronto, 2003. [retour]
- En 1854, les publicités de l’horloger Gendron indiquent que le magasin est situé au 1, rue Saint-Jean. En 1856, l’adresse est maintenant le 1, rue de la Fabrique. L’édifice est à la jonction des rues de la Fabrique et Saint-Jean. L’adresse du magasin Duquet deviendra le 3, rue Saint-Jean vers la fin du dix-neuvième siècle. [retour]
- Alyne Lebel, « Le magicien de la rue Saint-Jean. L’inventeur Cyrille Duquet ». Cap-aux-Diamants, vol. 4, no 4, hiver 1989, p. 45. [retour]
- Denis Vaugeois, op. cit. [retour]
- BAnQ, Archives du ministère des Travaux publics, Lettres reçues # 481, 17 janvier 1868. [retour]
- Id., Lettres reçues # 6002, 11 décembre 1869. [retour]
- Id., Lettres reçues # 3068, 11 octobre 1880. [retour]
- Id., Lettres envoyées # 100, 5 février 1881. [retour]
- Id., Lettres reçues # 1667, 5-6 juillet 1881. [retour]
- Id., Lettres reçues # 2572, 25 septembre 1882. [retour]
- Id., Lettres reçues # 2819, 11-12 octobre 1882. [retour]
- Id., Lettres reçues # 3188, 1 novembre 1882. [retour]
- Id., Lettres reçues # 1212, 22 mai 1882. Le montant de la facture s’élève à 36 $. [retour]
- Id., Lettres reçues # 1322, 28 juin 1884. Les archives du ministère des Travaux publics ne font pas mention d’une facture pour la verge noire. [retour]
- Id., Lettres envoyées # 1671, 10 décembre 1884. [retour]
- Id., Lettres reçues # 620, 7 avril 1885. La correspondance ne précise pas de quelle masse il s’agit, mais on peut présumer qu’on répare la masse de l’Assemblée législative puisque celle du Conseil législatif n’est vieille que de 2 ans. [retour]
- Id., Lettres reçues # 1468, 30 juin 1886. [retour]
- Id., Lettres reçues # 1703, 13 juin 1888. [retour]
- Alain Bernard, « Tic tac, tic tac, tic tac », Première lecture, 1, 4, avril 1992, p. 6. Cité dans Gaston Deschênes, Le parlement de Québec. Histoire, anecdotes, légendes. Éditions MultiMondes, 2005, p. 192. [retour]
- Entrevue avec André Viger, 15 novembre 2022. [retour]
- BAnQ, Archives du ministère des Travaux publics, Lettres envoyées # 961, 13 décembre 1893. [retour]
- Id., Lettres reçues # 190, 6 janvier 1899. [retour]
- Id., Lettres reçues # 119, 25 janvier 1904. [retour]
- Id., Lettres reçues # 137, 27 janvier 1899; Lettres reçues # 198, 31 janvier 1901; Lettres reçues # 1259, 29 juin 1901; Lettres reçues # 2076, 20 décembre 1902; Lettres reçues # 564, 28 mars 1903. [retour]
- Fonds Assemblée nationale du Québec, Lettres manuscrites d’Albert-Cyrille Duquet, 15 mars 1889. [retour]
- Id., Lettres manuscrites d’Albert-Cyrille Duquet, 10 février 1902. [retour]
- BAnQ, Archives du ministère des Travaux publics, Lettres reçues # 336, 14 octobre 1905. [retour]
- Id., Lettres reçues # 910, 5 juin 1906. [retour]
- Id., Lettres reçues # 1434, 8 juillet 1908. [retour]
- Id., Lettres reçues # 1175, 19 mai 1914. [retour]
- Id., Lettres reçues # 2235, 15 août 1916. [retour]