En 2021, les personnes âgées de 65 ans et plus représentaient 20,3 % de la population québécoise, selon l’Institut de la statistique du Québec. La croissance rapide de ces effectifs soulève plusieurs défis, notamment du point de vue financier. En 2019, le revenu net médian des personnes de 65 ans et plus, au Québec, était de 25 524 $. Cette note d’information sur la situation financière des personnes âgées de 65 ans et plus s’intéresse principalement aux sources de revenus de ces derniers, à la retraite et à la littératie financière.
Étiquette : LANOUETTE, CATHERINE
Dans le rapport qu’il présentait en 2007, Harvey Mead, premier commissaire au développement durable, décédé le 14 janvier dernier, évaluait pour la première fois l’empreinte écologique du Québec. Si toute l’humanité partageait les habitudes de consommation de la population québécoise, estimait-il, il faudrait trois planètes Terre pour soutenir un tel mode de vie. Bien que plus de quinze années se soient écoulées depuis ce constat, il demeure d’actualité, d’après le Rapport sur l’indice de circularité de l’économie du Québec (2021).
En outre, selon le Bilan 2021 de la gestion des matières résiduelles de RECYC-QUÉBEC, la quantité de matières résiduelles éliminées sur le territoire québécois correspondait annuellement à 716 kg par habitant. Le Québec est encore loin de l’objectif de 525 kg ou moins par habitant d’ici la fin de l’année 2023, fixé dans le cadre du plan d’action 2019-2024 de la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles.
Cette fiche Matière à réflexion aborde les concepts de recyclage et de récupération, de modes d’élimination et d’économie circulaire, en plus de donner quelques chiffres sur la composition des déchets éliminés, le coût de la gestion des matières résiduelles et l’offre de collecte de matière organique. Enfin, il est question de récents plans d’action québécois et d’initiatives à l’extérieur du Québec.
L’accès aux soins de psychothérapie au Québec est actuellement affecté, comme on l’observe dans plusieurs secteurs, par une pénurie de travailleuses et de travailleurs. Depuis plusieurs années, on remarque également un exode important des psychologues du réseau public vers la pratique privée. Jumelé à la pandémie de COVID-19 qui a exacerbé les problèmes de santé mentale, on assiste depuis quelque temps à ce qui semble être une tempête parfaite.
Cette note Matière à réflexion définit d’abord ce qu’est la psychothérapie et décrit les professionnels à qui le Code des professions en réserve la pratique. Par ailleurs, elle donne quelques chiffres sur les listes d’attente, les délais pour obtenir un service ainsi que la proportion des visites en médecine familiale et en milieu hospitalier pour des problèmes liés à la santé mentale.
Enfin, il est question de récents plans d’action québécois en la matière et de programmes instaurés au Royaume-Uni et en Australie pour accroître l’accessibilité des soins de psychothérapie.
Au 31 mars 2022, la dette brute du Québec atteignait 212,6 milliards de dollars, ce qui représentait 42,1 % de son produit intérieur brut. Depuis une dizaine d’années, ce ratio tend à diminuer. Il faut savoir que, au fil des ans, le gouvernement s’est doté d’outils et de cibles afin de réduire la taille de sa dette en proportion de l’économie québécoise. Dès 1996, l’Assemblée nationale a adopté la Loi sur l’équilibre budgétaire dans l’objectif d’éviter que le gouvernement du Québec n’encoure des déficits à répétition. Puis, en 2006, les parlementaires ont adopté la Loi sur la réduction de la dette et instituant le Fonds des générations. Cette loi établit entre autres des cibles de réduction de la dette brute et de la dette représentant les déficits cumulés.
Première lecture propose ici une nouvelle fiche d’information Matière à réflexion sur la façon dont l’État québécois a décidé de gérer la dette publique. En plus de présenter les outils dont le Québec s’est doté pour réduire la taille de sa dette, elle brosse un portrait de l’endettement du Québec.
L’une des répercussions de la pandémie de COVID-19 a été d’aggraver l’isolement social et la solitude des personnes âgées et de rediriger cet enjeu sous les projecteurs de l’actualité et dans les préoccupations de la population. Avec le vieillissement démographique, ce défi collectif demeurera certainement d’actualité dans les prochaines années. En effet, en 2021, les personnes âgées de 65 ans et plus représentaient 20,3 % de la population québécoise. Selon l’Institut de la statistique du Québec, cette proportion atteindra 26 % en 2041.
Cette fiche Matière à réflexion fait d’abord la distinction entre les concepts d’isolement social et de solitude des aînés. En plus d’aborder les causes du problème, les groupes à risque et les conséquences d’un isolement prolongé, la note présente plusieurs exemples d’interventions sociales pour répondre à ce défi. Enfin, il est question d’initiatives récentes en la matière, au Québec et ailleurs dans le monde.
La désinformation et la propagation de « fausses nouvelles » ne sont pas des phénomènes nouveaux. Pourtant, à l’ère d’Internet, des médias sociaux et du déclin des médias traditionnels, la désinformation et les « fake news » se propagent à une vitesse inédite. Si les « géants du numérique » qui offrent ces services ne sont pas la cause même de la désinformation, leur modèle d’affaires, fondé sur la captivité de l’attention, en facilite assurément la diffusion massive. Cette réalité place les sociétés démocratiques devant des défis sans précédent.
Cette fiche Matière à réflexion aborde les concepts de désinformation et de « fausses nouvelles », esquisse un portrait de la situation actuelle en la matière et décrit les principales conséquences de la désinformation sur la démocratie. Enfin, elle mentionne quelques pistes de solution et initiatives parlementaires et législatives explorées ici et ailleurs contre la désinformation.