La mise à l’arrêt brusque de pans entiers de l’économie en raison de la pandémie de COVID-19 a réduit temporairement la pression sur certains écosystèmes en plus de causer un fléchissement des émissions de gaz à effet de serre (GES). Le sursis risque toutefois d’être bref. Déjà, les plans de relance se préparent, ravivant les inquiétudes sur les conséquences écologiques d’un modèle économique fondé sur la croissance infinie de l’exploitation des ressources naturelles. Aux yeux des groupes écologistes, de chercheurs et d’entrepreneurs, l’occasion est favorable pour rebâtir l’économie sur de nouvelles assises. À cet effet, l’économie circulaire est souvent citée comme l’un des piliers sur lesquels on devrait baser un modèle économique mieux adapté aux défis du XXIe siècle. Des projets concrets, qui ne relèvent pas d’une quelconque utopie écologiste, mais qui au contraire s’accordent aux impératifs de notre époque, témoignent de cet intérêt à concilier environnement et économie.
Mois : octobre 2021
Dans plusieurs régions du Québec, les lots de terre se font de plus en plus rares. Sous la pression de promoteurs et d’investisseurs non traditionnels, le marché immobilier rural est à la hausse. Le rapport de Financement agricole Canada (FAC) sur la valeur des terres agricoles en 2020, publié en mars 2021, indique une augmentation moyenne de 7,3 % du prix des terres pour l’ensemble du territoire québécois.
Ce contexte mine la capacité de la relève agricole québécoise. Faute de moyens financiers, les jeunes agriculteurs doivent souvent se contenter de louer une terre, inhibant par le fait même les investissements nécessaires à l’expansion de leur exploitation.
Première lecture propose ici une nouvelle fiche d’information Matière à réflexion qui brosse un portrait des principaux facteurs contribuant à la hausse du prix des terres agricoles.
L’histoire de cette horloge d’exception, offerte à l’ancien premier ministre Honoré Mercier en 1890 pour son cinquantième anniversaire, demeure encore à ce jour drapée de mystère.